Les ravageur sont un problème majeur du jardin. Cette année la moitié du maïs à nourrit le rats, de même pour les betteraves.
La situation serait différente, je pense que les renards pourraient aider à réguler. Cependant de part ma situation je pense que je devrais réguler personnellement. Je pars donc sur la pose de pièges et une fois capturé les rongeurs serviront de nourriture pour mes volatiles.
Lors d’un atelier de réparation de vélo un ami m’a fait remarqué qu’il me serait utile de me faire… un pied d’atelier. Alors c’est parti. Comme l’a dit une grand bricoleur.. Avec une barre de fer on peut tout faire.
Je commence par couper la barre principale en deux parties. Puis avec un tuyaux recycler je découpe une barre transversale.
Puis je soude les barres entre elles. Souder des tubes n’est pas si évident, du coup il faut commencer à faire un bourrelet de métal qui sera charger jusqu’à ce que les deux parties soient réunies.
Je prends deux fixations d’échafaudage pour fixer une potence qui portera les vélos et voilà ! A noter que la fixation supérieure à dans sa mâchoire un morceau de pneu de vélo pour ne pas abimer les vélos suspendus.
Il y a quelque temps j’avais en tête de devenir autonome en vinaigre. N’étant pas un grand amateur de vin, le vinaigrier restait désespérément vide. Puis, des amis m’ont incités à faire de la boisson au sureau. Cette boisson à la particularité de devenir pétillante en fermentant. Et comme cela fermente, peut être est-il possible cela donne du vinaigre à l’instar du vin ou du cidre ?
On commence par filtrer un litre de la boisson au sureau en utilisant un chiffon propre et fin mis dans un entonnoir.
On rempli le vinaigrier.
ET … On attend, on verra si une mère de vinaigre vas se former ou pas… A suivre…
Toute action, ou non action, dans un terrain permacole se doit d’être réfléchie en fonction des objectifs recherchés. Pour ma part je vise une amélioration du biotope, la captation de CO2, la régénération des sols et la naturellement, la production alimentaire. De mon point de vu lorsque l’on vise l’amélioration du biotope la meilleure choses à faire est… Rien. La nature étant douée pour se régénérer spontanément. Cependant lorsque l’on vise à obtenir une production alimentaire il est nécessaire de procéder à des aménagements. Ici, une amie de longue date ma fait une magnifique cadeau. De jeunes pêchers prêts à être plantés.
La plantation fut réalisée de façon classique. J’ai laissé les plants se remettre du transport dans un bac d’eau. Puis j’ai creusé des trous adapté à leur taille. Je remplis ce trou d’eau que je remuai afin d’obtenir une boue appelée « pralin ». Les racines sont alors plongées plusieurs fois dans le pralin afin d’être recouvertes uniformément. Une fois installé dans son emplacement, je rajoute de l’eau afin de m’assurer que les racines ne soient pas en contact avec de l’air. J’ai rajouté une branche à coté afin de matérialisé l’emplacement de l’arbrisseau.
La plantation des arbres m’a amené à devoir dégager une zone sur laquelle j’avais laisser pousser des arbres qui naturellement recolonisaient l’endroit. J’ai déboisé au minimum. M’assurant juste de retirer les éléments ne pouvant l’être plus tard sans risquer d’abimer l’arbrisseau. D’autres tailles pourront intervenir ultérieurement en cas de besoin.
Je mis le résultat de la coupe de coté afin d’être retraité directement sur place.
J’ai dégagé les grandes branches à la serpe et j’ai mis les plus fines dans une poubelle afin de pouvoir les transporter plus facilement.
J’utilisai les grandes branches afin de renforcer les bordures des butes, que ce soit en tant que piquet ou en tant que cloisons. Ces éléments finiront par se dégrader en humus qui sera alors intégré à la butte, puis remplacé par du nouveau matériau végétal.
J’ai transporté les branches fines au tranche paille où avec un peu d’huile de coude nous les avons transformées en Broyat Raméal Fragmenté ( BRF ). Je conseille de les traiter quand elles sont encore vertes, cela facilite grandement le travail au tranche paille. Avant d’avoir cet outil je faisais cette tâche à la hache, ce qui est plus long et fatiguant.
Une fois transformé, le BRF est amené dans une zone de culture découverte. Le BRF réduira le besoin en arrosage, augmentera la vie du sol, la fertilisation et la captation de CO2 grâce à la production d’humus. Dans une démarche permacole il n’y a pas de déchets verts, juste de la ressource en devenir.
La mise en place de ce nouvel arbre à permis de continuer la démarche permacole. La dégradation du biotope à été limité au strict minimum, les produit de ce travail ont été traités sur place tout en respectant les objectifs fixés initialement.
Une installation permacole, de mon point de vue, se doit d’établir une dynamique de pratiques visant à produire de la nourriture, redonner de la place au biotope endémique, réaliser de la séquestration de CO2. Tout ceci en utilisant les moyens présents sur place et de la manière la plus autonome possible. Il s’agit d’une réflexion devant s’adapter au lieu et non pas un succession de méthodes à transposer tel quel. Nous allons voir ici comment je produit mon terreau à partir des ressources disponibles sur place. Dans un autre lieu les méthodes seraient différentes.
La terre végétale peut être trouvé sur place. Lors de la création de la serre enterrée la terre fut séparée en deux tas. L’un devant servir de matière première pour une futur construction (sous sol argileux, orangé), l’autre pour la culture (Terre végétale plus foncée). Il va nous servir de base pour le terreau.
Les produits de décompositions sont ici issus de deux sources. L’une d’elle vient du composteur.
L’autre est obtenue en utilisant le penchant naturel des poules à gratter. Dans cet exemple des tailles de thuyas à été disposé en hauteur du terrain (zone rouge). Le grattage et les fientes des poules ont transformés ces tailles en broyat (zone orange) avant d’être expulsé en zone jaune. Il sera récupérè en zone verte avant d’être mélange à de la terre végétale pour obtenir le terreau.
Pour réaliser le compost, je pars sur une proportion de 50% de terre végétale et 50% de produits de décomposition.
Je dispose de vieux pommiers en fin de vie. Depuis des années je vois ces pommiers dépérir lentement. J’ai donc décidé d’entreprendre des démarches pour sauvegarder ces espèces anciennes.
Apprentissage des bases et récupération d’un porte greffe
Dans un premier temps, je me suis rendu à la Damassine, pour y apprendre la greffe (greffe à l’anglaise complexe) et ramener un porte greffe dans le but de le multiplier. L’arbre greffée est à droite et le porte greffe à gauche.
Les arbrisseaux ont été plantés. J’ai laissé les branches se développer sur le porte greffes. Ensuite j’ai enseveli le porte greffe, afin de réaliser un marcotage. Pour se faire j’ai recouvert les dix premiers centimètres des branches. Au bout d’un an, j’ai vérifier que les racines s’étaient bien développées.
Comme c’était le cas, il est temps de séparer les branches du tronc pour obtenir de nouveaux portes greffes.
Il est donc temps de prélever les greffons. Pour se faire je me suis basé sur les informations présentent sur le site OOREKA. Ce site préconise de prélever des greffons d’une vingtaine de centimètre et ayant une inclinaison par rapport au sol de 60 ° environ.
Pour la greffe à proprement parlé il faudra attendre la remonté en sève du porte greffe. Celle-ci mettra un coup de boost au greffons. il est très important que cela se passe dans ce sens, le porte greffe doit démarrer avant le greffons. Car ce dernier ne peux faire monter la sève dont il aura besoin pour son développement.
Caractéristiques : Coût : 15 € Type de cuisson : Saisi (œufs au plat, Steak végétarien, etc..) Type de matériel de cuisson : poêle, éviter le plastique. Temps de cuisson : 10/15 min
Ma conception de la résilience et de la permaculture passe par le fait de répondre en priorité à la base de la pyramide de Maslow. C’est à dire répondre aux besoins physiologique. Donc naturellement il est temps de s’attaquer au moyen de se nourrir et de préférence « chaud ». Pour ce projet je me suis basé sur le livre « Je cuisine avec le soleil« . Ce livre propose des plans de qualité. Cependant ayant ne voyant comment réaliser des pliages sur métal au début du projet, je me suis basé sur une image disponible dans ce livre, pour réaliser ce four.
Par rapport au four solaire, cet outil permet d’avoir une montée rapide en température. Par contre tout passage de nuage fait perdre immédiatement la chaleur contrairement au four qui est plus stable.
Mise en garde
Cet outil fonctionnant par concentration des rayons solaires, il est nécessaire d’employer des lunettes de soleil afin de pouvoir l’utiliser en toute sécurité. Par ailleurs lors du stockage ou en l’absence d’usage, il est impératif de ranger cet objet à l’abri des rayons solaires afin d’éviter tout départ d’incendie.
Préparation préliminaires
Comme à l’accoutumé, le projet débute par la réalisation d’un plan réalisé à partir du livre de référence. Ici j’ai pris deux parties de papier que j’ai collé afin d’avoir une superficie suffisante pour réaliser les « pétales » de la parabole.
Maintenant il s’agit de rassembler les différents matériaux. On va partir sur des poubelles en inox acheté aux Emmaüs pour les « pétales » de la parabole. Un tuyau d’irrigation est utilisé pour donner sa forme à la parabole en la vissant dessus. J’ai utilisé de l’inox pour fabriquer les pieds avant d’y monter des roues pour qu’il soit plus simple à déplacer.
Parabole
Les pétales de la parabole sont réalisés en ouvrant les poubelles à disqueuse. J’ai ensuite pointer des repères grâce au plan précédemment réalisé avant de passer à la découpe. Les trous pour la barre de fixation sont réalisé avec une scie sauteuse.
J’ai fixé les pétales en les rivetant en demi paraboles avant d’assembler l’ensemble. Les bords des pétales sont ensuite repliés et vissés sur les bords en s’appuyant sur un tuyau d’arrosage maintenu en anneau grâce à une grosse cheville de bois.
Le premier test de fixation des pointes des pétales ne m’ayant pas convaincu, j’ai repris les pétales un par un pour ouvrir les points de fixation afin qu’ils puissent plus facilement coulisser les uns par rapport aux autres. J’en profite pour poser le support en contre plaqué par lequel passera la barre qui maintiendra la parabole. C’est grâce à ce support qu’il sera possible d’orienter la parabole.
Support
La parabole étant maintenant finie, il est grand temps de lui donner de quoi se maintenir debout et se déplacer. J’ai utilisé des barres d’inox coupées, percées pour pouvoir les assemblées ensemble grâce à des pièces de bois. J’ai découpé la pièce de bois (photo 3), puis percée afin d’y faire passer la barre de maintient de la parabole.
Il est maintenant temps de fixer la grille de cuisson et de faire passer la barre dans la parabole. On montera ensuite les roues sur la structure.
Il n’y a pas de tuyau sur la partie inférieur, car je n’en avais plus à disposition. Après test je n’ai pas senti du différence en terme de chaleur sur les parties isolées ou à nues.
L’orientation de la parabole se fait via une vis de serrage. Un couvercle de confiture fixé au sommet de la parabole sert de « cadran solaire » pour aligner la parabole avec le soleil afin d’optimiser la concentration solaire. Le réglage du couvercle se fait de la façon suivante. Tout d’abord il convient de s’équiper de lunettes de soleil. Ensuite il faut disposer un plat de cuisson, par exemple une poêle, sur la grille. Déplacer la parabole jusqu’à ce que le point de convergence des rayons soit au centre de l’ustensile. Une fois ce réglage fait, on oriente le couvercle pour que l’ombre de la tige soit inexistante. Ainsi, lors des usage suivant on aura directement qu’en ayant une ombre nul sur le couvercle, la convergence des rayons dans l’ustensile sera idéale .
Caractéristiques : Coût : 25/30 € Type de cuisson : Longue Type de matériel de cuisson : cocotte en fonte Temps de cuisson : Deux à trois plus long qu’en four traditionnel
Ma conception de la résilience et de la permaculture passe par le fait de répondre en priorité à la base de la pyramide de Maslow. C’est à dire répondre aux besoins physiologique. Donc naturellement il est temps de s’attaquer au moyen de se nourrir et de préférence « chaud ». Pour ce projet je me suis basé sur le livre « Je cuisine avec le soleil« . Ce livre propose des plans de qualité. Cependant ayant ne voyant comment réaliser des pliages sur métal au début du projet, je me suis basé sur une image disponible dans ce livre, pour réaliser ce four. Ce fut une idée moyenne, mais nous verrons ceci ultérieurement.
Préparation des matériaux
Comme à l’accoutumé l’une première étape fut de collecter les matières premières. Il s’agira une fois de plus d’utiliser du matériel de récupération. Malheureusement, il fut impossible de trouver les matériaux conseillés (plaque Offset, cette technologie étant maintenant désuète). Afin d’avoir du métal réfléchissant, je suis parti sur un tambour de machine à laver.
A ce moment là je ne voyais pas comment plier le métal avec les moyens dont je disposais. Ce qui m’a orienté vers un modèle présent en photo dans le livre, au lieu du modèle dont le plan était fourni. Dans un premier temps il s’agira d’ouvrir les tambours afin d’obtenir des plaques d’inox.
Une fois les bandes de métal obtenues, il est temps de les assembler pour former la cellule du four. Dans un premier temps les plaques sont maintenue en place en les vissant sur des morceaux de bois. L’assemblage des plaques se fera par rivetage à froid. On nettoie tout ça et voilà, le fond de la cellule est réalisé.
Cadre de la cellule
Maintenant que la bande métallique est assemblée il faut donc réaliser le cadre de bois qui accueillera l’enceinte du four. Le cadre est fait de morceaux de bois sur lesquels j’ai réalisé des méplats pour les assembler. Le cadre est ensuite assemblé, collé et maintenu en place grâce à un feuillard (outil servant à maintenir le cadre le temps du séchage).
méplat réalisé à la mortaiseuse.
Maintient du cadre, grâce au feuillard.
Assemblage de la cellule
Le cadre réalisé, il est temps de monter la cellule du four dessus. Le fond est vissé sur le cadre. Les cotés sont aussi fait en inox de machine à laver. Le coté est positionné sur la cellule.
Coté
Positionnement du coté
Le coté est maintenu en place le temps de faire le tracé de la position de la cellule. Je découpe la plaque en prenant garde de laisser de quoi faire des languettes de fixations.
Tracé du contour
Découpe de la zone de languette
Découpe des languettes
J’ai employé un ciseau à bois désaffuté (afin qu’il ne tranche plus) pour marquer les lignes de pliage. Puis à l’aide d’une pince, puis d’un marteau bloqué avec une cale, j’ai relevé les languettes avant assemblage.
M
Cale mise en place derrière les languettes
Le coté est ensuite repositionné sur la cellule, avant d’être vissé sur le cadre et riveté au reste de la cellule.
Fixation de la grille
La cellule du four du four est maintenant finie. Il est temps de penser au système de fixation de la grille de cuisson, qui restera mobile en tangage. Pour se faire nous allons réutiliser de pièces de la machine à laver. L’axe de fixation de la grille se fera sur deux points, un fixé contre l’enceinte de cuisson et l’autre sur la cloison en bois. On notera que les rondelles métalliques sont en laiton, ce système remplaçait un roulement à bille sur la machine à laver.
Isolation de la cellule du four
Afin de garder la chaleur capté il convient d’isoler la cellule du four de l’extérieur. Toujours en essayant de prendre ce que j’avais sous la main, j’ai employé de la paille à cet effet et le résultat fut concluant.
Réalisation de la vitre
Il est maintenant temps de passer à la réalisation de la vitre. Elle sera fait en double vitrage afin de garantir une rétention thermique optimale. On refait un cadre comme précédemment.
Réalisation d’un tenon
Tenons finis
Pré assemblage de la fenêtre.
On rajoutera des baguettes pour séparer les vitres. Pour la vitre la plus basse, on insérera une cale afin de conserver l’écart entre les deux baguettes.
Baguette de séparation
L’écart est conservé grâce à une cale en bois
Test d’assemblage
Il n’y a plus qu’à découper le verre, à l’aide d’une roulette. Il faut un passage net, on met la rayure du verre de façon sur élevée et on tape d’une sec mais pas trop fort pour fendre la vitre. A la suite de quoi j’ai fais glisser les vitres et coller, visser le cadre. Une fois la colle sèche il est temps de visser la fenêtre sur la cellule du four.
Découpage de verre
Mise en place et encollage
Réalisation du chariot de déplacement
Le four étant lourd et encombrant, il est nécessaire de faire un chariot sur lequel il reposera, afin de pouvoir le déplacer aisément. J’ai employé de vieilles roues de tondeuse à gazon, ainsi qu’une vieille étagère en pin. Au final l’étagère s’avèrera un peu fragile et il faudra en remplace une partie par du bois plus solide.
Poignée
Finitions
Il est maintenant temps de fixer les réflecteurs ainsi que d’apporter quelques améliorations au projet. Les réflecteurs ont été améliorés grâce à des couvertures de survie. Une fois le focntionnement validé, j’ai appliqué une couche d’huile de lin pour protéger le meuble. Ce four fonctionne bien, mais sa taille imposant et la grille mobile le rende quelque peu contraignant. Ayant finalement trouvé une bonne méthode pour plier le métal, je recommande de tester le plan fourni dans l’ouvrage de référence cité plus haut.
La conservation des aliments est un problème majeur. A fortiori sous nos latitudes Françaises où la production alimentaire n’est pas un uniforme sur l’année. Le but de ce projet va être d’utiliser l’énergie solaire afin de dessécher les aliments. Ce projet s’est basé sur le projet du site « Onpeutlefaire.com« . L’idée reste d’utiliser au maximum du matériel de récupération.
Le principe est d’avoir une arrivée d’air qui se réchauffe en passant entre une vitre et une plaque métallique. Cet air va ensuite passé sur des clayettes où se situera les aliments à dessécher. L’air une fois chargé en humidité sera alors expulsé par la cheminée se trouvant sur le toit.
La première étape fut de s’approprier le plan du site source afin de comprendre et d’avoir une réflexion sur le fonctionnement du dessiccateur. La zone rouge présente l’évacuation de l’air. A l’époque je m’interrogeais sur la nécessité d’avoir une extraction électro-mécanique, au final j’ai choisi l’option présenté dans le site originel.
Les parois
A partir de là, j’ai commencé là réaliser les parois avec des lattes de parquet. J’appliquerais par la suite traitées avec un vernis marin afin d’augmenter leur résistance à l’humidité. En tout état de cause il ne faudra pas laisser ce meuble sous les intempéries. L’isolation des parois se fait avec des plaques des plexiglas (achetées) et des copeaux de bois.
Le fond à été réalisé sur le même principe.
On reste sur le même procédé pour réaliser le toit. Le tube d’extraction fut peint en noir afin de facilité le processus. Le noir absorbant la chaleur l’air se trouvant à l’intérieur se réchauffe donc. Cela créé une dépression à l’intérieur de l’habitacle qui permet l’évacuation de l’air chargé en humidité.
Pour réaliser la porte j’ai utilisé du chêne que j’ai rainuré et assemblé.
La toupie, sans doute la machine la plus dangereuse dan un atelier.
Fenêtre
La vitre du dessiccateur fut réalisé à partir de morceau d’huisserie en sapin et d’une vitre de récupération en verre feuilleté trempé. Cette vitre sera ensuite posée devant le dessiccateur.
Clayettes
Fondamentales dans ce projet, les clayettes seront l’endroit où l’on déposera les aliments afin de les faire sécher. Il me fallut un certain temps pour trouver le matériel adéquat pour réaliser les filets. En fin compte, je jeté mon dévolu sur de la toile de trampoline de récupération. La température devant resté relativement basse, il ne devrait pas y avoir de problème d’émanations.
Assemblages
Au fur et à mesure que le projet avance, des assemblages successifs ont été réalisés afin d’ajuster le projet en cours de route (itération). En observant le comportement du dessiccateur que je décidé de peindre en noir pour améliorer la captation d’énergie.
L’objectif de ce projet est d’employer des matériaux de récupération afin de réaliser un poulailler. Aujourd’hui, il est possible de trouver beaucoup de matières premières jetés sur les trottoirs.
Caractéristiques : Coût : 25 € Nb de poulettes : 10
L’idée de base était d’avoir un objet fonctionnel au niveau de l’entretien, ergonomique pour la collecte des œufs, modulable et confortable pour les poulettes.
Le plan réalisé, la première étape fut de récupérer les matières premières. Le bois provient d’anciennes huisseries de portes, portes d’armoires, de vieux tiroirs et une fenêtre.
La construction commence par la réalisation de cadres qui seront la structure du poulailler.
Il est temps de passer à l’amélioration de la fenêtre. Je commence par la démonter partiellement pour pouvoir la doubler et ainsi améliorer le confort des poules.
On retire les baguettes de maintient de la vitre.
On ajoute une bordure de séparation.
On monte le tout et met une bordure de maintient de la seconde vitre.
Découpe de la vitre de doublage.
Pose de la fenêtre et des parois.
Mise en place du coffre/pondoir. J’ai prévu cette partie pourrait être démontée ou cas où l’on voudrait augmenter le volume du poulailler.
On passe maintenant à la construction du toit escamotable. La base du toit est elle aussi un cadre en bois sur lequel on fixe des montant pour réaliser la pente du toit.
Afin d’augmenter la résistance aux intempéries le toit est recouvert de linoleum avant la mise en place sur le poulailler.
Une fois le montage fini, il est temps de passer aux petites modifications qui amélioreront encore l’ergonomie du poulailler. Ainsi lorsque j’irais vider le pondoir je pourrais poser directement les œufs dans la boite.
La serre est un excellent complément du potager. Elle permet d’allonger la période de récolté, surtout dans les régions « fraîches », d’entreprendre la culture de plantes qui aurait ne survivraient pas à l’hiver sans cet abri. La serre permettra aussi de faire couveuse en permettant un culture de plans plus précoce.
Quels est le principe d’une serre semi enterrée ?
Le principe d’une serre enterré est d’utiliser la capacité géothermique de la terre. C’est le principe d’un puits canadien, à partir de 1.5 m la terre à une température constante d’environ 15 °c. Par ailleurs la terre à la capacité d’absorber la chaleur. Ainsi la chaleur de l’air capté durant la journée chauffe la terre qui sera restitué durant la nuit. Un autre avantage est le fait d’avoir une prise au vent réduite ce qui limitera les risques que cette serre finisse comme le précédent abris à tomates. C’est dire les fers en l’air emporté par le vent.
Construction de la serre semi-enterrée :
1 – Prise en compte de l’environnement. Comme dans tout projet il convient de prendre en compte le contraintes avant tout. Ici le sol s’avère très caillouteux arrivé à une certaine profondeur. Par ailleurs le terrain est inondable et se situ au pied d’une colline. Je crains donc d’arriver assez vite sur une partie de nappe phréatique. Effectivement j’ai depuis, observé une inondation légère de la serre un lendemain de forte pluie.
2- Définir la zone L’emplacement est primordial. Il doit être suffisamment ensoleillé pour capter l’énergie solaire, sans pour autant faire trop d’ombre au reste du potager. Dans mon cas ce fut simple, j’employais l’emplacement du précédent abris à tomates.
Matériel
Afin de mener à bien ce projet j’ai décidé d’employer des barres de métal afin de réaliser la structure de la serre. Cette structure sera surmontée de treillis métalliques récupérè depuis l’ancien abris à tomates. Le tout sera surmonté d’une bâche transparente donnée par des amis.
Réalisation de l’espace de culture
Une fois ces éléments déterminés, il s’agit maintenant de creuser et pour ça il ne faut pas hésiter à inviter les copains !
Couverture
Une fois le trou creusé, il s’agit de mettre en place la structure métallique. Nous avons planté des piquets dans la structure noire afin d’avoir une accroche solide. Afin d’augmenter encore la solidité, les piquets verticaux ont été joints ensemble via des fixations d’échafaudages. Une fois la base posée, on place le treillis et ensuite la bâche. Celle-ci sera maintenue en place grâce à un système de cordage qui seront fixé sur la structure métallique.
Finitions
La base est finie, maintenant il s’agit d’apporter les dernières améliorations. Par exemple mettre une « porte ». J’ai décidé pour se faire de partir sur deux morceaux de bâche tenues par le cordage le plus avancé. Je ne suis pas parfaitement satisfait de ce procédè car la porte se détache un peu parfois. Je verrais à l’usage comment améliorer cela. Peut être que juste une corde supplémentaire tenant exclusivement la « porte » sera suffisant. Par ailleurs des amis m’ont fait remarquer que la disposition des zones de culture n’était pas optimale. De fait j’ai déplacé de la terre se trouvant sur les bords de la serre pour reformer de nouvelles surfaces.
Au final j’estime que ce projet à du couter une trentaine d’euros.